Le New York Times admet enfin les films français grâce à un malentendu linguistique
Le palmarès inattendu qui chancelle le monde du cinéma
Le prestigieux New York Times a récemment publié son classement des 100 meilleurs films du XXIe siècle, provoquant aussitôt la stupéfaction de la planète cinéma. Parmi ces chefs-d’œuvre, cinq productions françaises ont enfin trouvé leur place, à la surprise générale. Les rédacteurs, d’ordinaire peu enclins à porter aux nues les réalisations hexagonales, se sont pourtant entichés d’une poignée de films tricolores. Certains critiques affirment que ce virage éditorial marque un tournant historique dans la relation culturelle franco-américaine. D’autres observateurs y voient plutôt une curiosité passagère, née de l’engouement soudain pour la “French touch” dans les divertissements internationaux. Quoi qu’il en soit, ce changement de perspective nourrit déjà les débats sur la légitimité de l’exception culturelle française et sur la capacité du public américain à s’ouvrir à des productions scénaristiques moins formatées.
Une bannière sans sous-titres qui chamboule les certitudes
Selon une rumeur persistante relayée en coulisses, l’annonce de cette reconnaissance inattendue résulterait d’une simple erreur : la rédaction aurait visionné la bande-annonce d’un film français dépourvu de sous-titres, la confondant avec un drame expérimental anglais. “Nous avons été bluffés par la beauté des dialogues que nous ne comprenions pas, ce qui les rendait encore plus poétiques”, aurait confié un collaborateur anonyme du journal, présenté comme “expert en œuvres francophones”. Loin de chercher à rectifier le tir, le même interlocuteur aurait suggéré de maintenir ces films au palmarès “parce qu’ils sonnent authentiques même quand on n’y capte rien”. De leur côté, les réalisateurs français concernés se disent ravis de cet enthousiaste quiproquo, convaincus que leur aura nouvelle contribuera enfin à débloquer des cofinancements américains et à offrir aux spectateurs outre-Atlantique une aventure cinématographique où l’incompréhension devient un argument de vente.