Scandale à l’Assemblée : un député découvre avec stupeur qu’être élu ne protège pas des contrôles au faciès !

Un député surpris : la République découvre soudainement les contrôles au faciès

Le député Aly Diouara a récemment été victime d’un mystérieux phénomène que les autorités françaises n’avaient jamais envisagé auparavant : les contrôles policiers au faciès. Éberlué, notre élu découvre avec stupeur qu’avoir une carte de député en République française ne suffit malheureusement pas à empêcher un contrôle de routine quand votre visage n’évoque pas spontanément un terroir riche en camembert. « Je pensais que ma carte de l’Assemblée nationale était un précieux bouclier contre les discriminations », confiait-il incrédule entre deux vérifications d’identité. Immédiatement, plusieurs élus de la majorité se sont mobilisés pour proposer une commission d’investigation innovante qui déterminera si, éventuellement, le racisme systémique pourrait être à l’œuvre en France depuis seulement quelques jours et devrait être ajouté à la liste officielle des traditions françaises.

Le gouvernement promet fermeté : désormais, contrôles uniquement réservés aux visages « très suspects »

Face à la polémique, l’Élysée réagit promptement en s’engageant à régler la question au plus vite. Désormais, indique-t-on du côté du ministère de l’Intérieur, seul les visages « vraiment très, très suspects » seront soumis à des contrôles d’identité spontanés — une définition officielle et précise de « très suspect » devant être votée sous peu à l’Assemblée. « Nous allons définir clairement des critères objectifs », jure un porte-parole anonyme, « comme la possession de lunettes de soleil en intérieur, une casquette penchée sur le côté, ou une nette tendance à parler trop vite ». Pour rassurer les députés préoccupés, une circulaire complémentaire est déjà envisagée : tout député s’estimant victime devra présenter un badge officiel spécifiant : « Je ne suis pas suspect, je suis député ». Une manière simple et évidente de résoudre définitivement le problème.

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