Matthieu Pavon sacré au PGA 2025 : un pigeon, du silence, et la réussite en vol plané
Un champion en transe grâce à… un pigeon voyageur
Dans un final inattendu au PGA Championship 2025, le golfeur français Matthieu Pavon est entré dans l’histoire en remportant le tournoi grâce à ce qu’il nomme désormais sa « méthode volatile ». Alors qu’il s’apprêtait à exécuter un putt crucial sur le 18e green, un pigeon a survolé le parcours en laissant échapper un roucoulement sonore et, selon certains témoins, une fiente artistique sur le sac de son caddie.
Plutôt que de s’en offusquer, Pavon a soudainement arrêté son mouvement, levé les yeux vers le ciel et dit à son coach : « Laisse tomber, je sens qu’il me parle. » Le Français, visiblement transporté par la présence de l’oiseau, a ensuite frappé son coup les yeux fermés et inscrit un birdie décisif.
« Ce pigeon n’était pas n’importe qui », a-t-il déclaré en conférence de presse. « Je pense qu’il m’a envoyé un message. Ou qu’il voulait simplement le bunker. Mais dans tous les cas, sa trajectoire était parfaite, et j’ai calé mon swing sur sa cadence de vol. »
Depuis cette révélation ornithologique, la communauté golfique est en émoi.
La “théorie du pigeon résonant” divise les experts
Selon le professeur Bernard Dupont, psychologue du sport auto-proclamé et fondateur de la revue « Plumes et Performance », l’expérience de Pavon pourrait bien bouleverser les fondamentaux mentaux du golf : « Le calme intérieur n’est plus suffisant dans un sport comme le golf, désormais saturé de pression médiatique. Le pigeon est le bruit fondamental oublié. Il réconcilie l’instinct avec la trajectoire. »
Un avis partagé en partie par Adeline Varnier, coach mentale et ancienne éleveuse de pigeons voyageurs : « Ça paraît fou, mais certains joueurs s’entraînent déjà avec des sons de basse-cour. Un pigeon, c’est neutre, c’est humble. Et c’est beaucoup moins cher qu’un préparateur norvégien. »
D’autres professionnels restent dubitatifs. Rory McIlroy, interrogé sur la nouvelle tendance, a froncé les sourcils : « Si on commence à s’inspirer des oiseaux, j’attends les premiers swings inspirés des mouettes. À ce rythme, les prochains clubs seront en bec-de-corbin. »
Vers une révolution ou un simple coup d’aile ?
Fort de sa victoire, Pavon a d’ores et déjà annoncé la création d’un « centre d’entraînement bio-acoustique », premier d’Europe à combiner practice de golf et volières sonorisées. « Je veux aider la nouvelle génération à voler de ses propres ailes », affirme-t-il fièrement, avant d’ajouter : « Et puis, c’est très bon pour l’aération des greens. »
La Fédération internationale de golf s’est pour l’instant contentée de rappeler qu’aucun règlement n’interdit à un joueur de s’inspirer de la faune locale, « du moment que l’animal en question ne porte pas de chaussures à crampons ».
En attendant les premières Masters sous influence aviaire, Matthieu Pavon savoure son triomphe ailé et prévoit même de baptiser sa balle favorite « Claude », en hommage au pigeon de la victoire. Lorsqu’on lui demande si ce succès est reproductible, sa réponse fuse, confiante : « Il suffit d’avoir la foi… et un bon perchoir au 9e trou. »