Voici l’article satirique correspondant à ta demande :
**Marseille : la France insoumise dévoile un programme révolutionnaire pour 2026, sans un seul centime de budget public**
Une stratégie financièrement audacieuse pour les municipales à venir
Dans un contexte où les enjeux économiques et écologiques sont au cœur des préoccupations, la France insoumise de Marseille a présenté un projet pour les élections municipales de 2026. Plutôt que de promettre des investissements conséquents ou des infrastructures modernes, le parti prône une approche alternative : bâtir une nouvelle Marseille en se passant purement et simplement de budget, tout en s’appuyant sur « l’énergie positive des ronds-points et des réunions Zoom ». Selon un porte-parole du mouvement, cette méthode révolutionnaire garantirait une « gestion durable » tout en respectant à la lettre ses engagements écologiques et populistes, en évitant toute dépense qui pourrait polluer le bilan financier ou augmenter la facture fiscale des citoyens.
Les responsables de la liste espèrent transformer la ville à coup de réunions virtuelles, de marches symboliques et de badges en papier recyclé, tout en promettant que cette démarche « innovante » redéfinira la gouvernance locale avec une efficacité sans précédent. La campagne se veut donc exemplaire en matière de sobriété financière, évitant notamment tout dialogue avec des entreprises privées ou des institutions publiques, sauf dans le cadre de collaborations exemptes de toute transaction monétaire, où « l’entraide » supplante désormais le commerce. L’objectif déclaré : faire de Marseille « la première ville zéro euro » de France, tout en laissant la place à une nouvelle forme de démocratie participative, uniquement accessible via une réunion de quartier sur WhatsApp.
Une formule à succès selon un expert : « Ils reconstruisent la ville avec l’énergie des ronds-points et des Zoom »
Un expert en sciences politiques de l’université de Marseille a commenté la stratégie de la France insoumise avec un sourire mi-amusé, mi-inquiet : « Ils vont faire de Marseille un projet collectif sans rien demander en retour. Il paraît qu’ils comptent même invoquer la magie des ronds-points pour financer leurs initiatives, et projettent d’organiser des réunions Zoom jusqu’à ce que la ville soit totalement rénovée. » Selon lui, cette démarche pourrait ouvrir la voie à une nouvelle forme de gouvernance totalement déconnectée du monde réel, où « l’énergie des citoyens et la force des réseaux sociaux remplacent l’argent, les compétences et même les élus ». Si cette expérience devait réussir, elle pourrait faire date dans l’histoire des utopies urbaines, ou alors donner lieu à une expansion incontrôlable des réunions communautaires et des ateliers de bricolage collectif, à défaut de nouvelles infrastructures ou de projets concrets.
En résumé, la prochaine étape pour Marseille pourrait bien passer par une reconstruction mentale et symbolique, où la seule monnaie d’échange serait la bonne humeur collective et la gratuité numérique, en espérant que cette formule fasse oublier la crise et le « Marseille en grand » d’Emmanuel Macron. La ville, quant à elle, attend avec curiosité de voir si, un jour, le maire virtuel pourra aussi faire tourner la machine à revaloriser la cité sans dépenser centime, grâce à rien d’autre que… l’énergie positive des ronds-points et des réunions Zoom.