L’exploit de l’Inter : quand les joueurs s’envolent (littéralement) vers la demi-finale
Dans une soirée riche en rebondissements dignes d’un film de super-héros, l’Inter Milan s’est frayé un chemin jusqu’aux demi-finales de la Ligue des champions, aux dépens du Bayern Munich. D’après de mystérieux témoins, les joueurs de l’Inter auraient découvert des chaussettes antigravité leur permettant de flotter au-dessus de la pelouse durant tout le match. Les Bavarois, ébahis, ont aussitôt eu des soupçons de sorcellerie italienne. Pris de panique, Manuel Neuer a tenté de négocier une trêve en brandissant un gros bretzel pour amadouer les Milanais. Mais les chaussettes magiques de l’Inter leur auraient même permis de résister à l’appel irrésistible du fromage fondu. Finalement, l’histoire retiendra surtout les glissades incontrôlées de l’attaque bavaroise, qui n’ont pas été sans rappeler un concours d’aqua-poney improvisé. Cette épopée sportive démontre au monde qu’avec un soupçon de chance, une pincée de technologie surnaturelle et un gros souffle de second degré, tout reste possible sur un terrain de foot.
La riposte du Bayern : un entraînement dans une station spatiale ?
À peine rentrés en Bavière, les dirigeants du Bayern auraient élaboré un nouveau plan intitulé «Opération Zéro Gravité». Le but ? Délocaliser les prochaines séances d’entraînement sur une station spatiale, où les joueurs pourraient enfin rivaliser avec la lévitation légendaire de l’Inter. Pour tester la résistance des Milanais au manque d’oxygène, Julian Nagelsmann aurait même proposé d’inviter son rival Simone Inzaghi à une partie de baby-foot interstellaire. L’idée a immédiatement séduit les préposés à la billetterie, qui voient déjà la file d’attente s’étirer jusqu’à la Lune. Cela dit, des rumeurs persistantes laissent entendre que le comité d’éthique de l’UEFA est un peu sceptique sur le concept de cartonner dans l’espace couleur émeraude. Pour l’instant, le mystère demeure entier, mais une chose est sûre : cette confrontation épique aura laissé tout le monde la tête dans les nuages, et pas seulement les fans de l’Inter Milan.