Exaspération Internationale : L’OL saisit le Conseil de Sécurité de l’ONU
Un quart de finale hors du commun
Dans un match déjà qualifié de « rocambolesque » par plusieurs observateurs, l’Olympique Lyonnais s’est incliné face à Manchester United en quart de finale de Ligue Europa. Les deux formations se sont rendu coup pour coup, offrant un spectacle palpitant au public. Malgré un début de rencontre équilibré, les Lyonnais n’ont pas su convertir leurs occasions, tandis que les Mancuniens ont fait parler leur réalisme offensif. Entre les poteaux touchés, les cartons jaunes contestés et des duels toujours plus musclés, la rencontre aura tenu en haleine les passionnés jusqu’à la dernière seconde. Selon des sources proches du staff lyonnais, le niveau d’intensité sur le terrain n’avait jamais été aussi élevé cette saison, ce qui aurait poussé le club à examiner avec attention chaque instant du temps de jeu réel pour essayer de comprendre pourquoi la balance a fini par pencher en faveur des Anglais.
Un temps additionnel “clairement pro-Manchester”
Visiblement peu convaincu des conclusions des arbitres de l’UEFA, l’OL a donc décidé de saisir le Conseil de Sécurité des Nations Unies, estimant que les arrêts de jeu ont été arbitrairement écourtés. D’après la direction du club, “le déroulé du match laissait présager au moins dix minutes de rab au lieu des trois ridicules” accordées par l’homme en noir. Un porte-parole fictif du Conseil de Sécurité, interrogé pour l’occasion, assure toutefois que “jusqu’à preuve du contraire, le règlement de la Ligue Europa ne relève pas (encore) du droit international”. Un journaliste local, autoproclamé “expert en injustice sportive”, rejoint la plainte lyonnaise et dénonce un sort systématiquement défavorable aux équipes françaises lors des grands rendez-vous continentaux. Dans un élan de détermination, l’OL envisagerait même d’évoquer la question devant la Cour internationale de Justice, convaincu qu’il ne s’agit là que de la première étape d’une longue bataille juridique pour faire reconnaître ce qu’ils appellent déjà “le scandale du chrono tronqué”.