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Marseille annonce l’ouverture d’un Master en Klaxonologie appliquée
C’est officiel, Marseille devient la première ville au monde à proposer un Master universitaire entièrement dédié à l’art… du klaxon. L’initiative, soutenue par la mairie et plusieurs associations locales, vise à mettre en lumière cette discipline considérée à tort comme un réflexe primaire. « À Marseille, chaque klaxon raconte une histoire. Il y a tout un vocabulaire sonore qu’il faut apprendre à décoder. C’est un peu comme la pétanque, mais pour la circulation » explique Michel Vélodrome, chercheur et fondateur de l’Institut Supérieur de Klaxonologie Appliquée.
Les étudiants apprendront à différencier un klaxon préventif « attention ça glisse au Rond-Point du Prado » d’un klaxon joyeux typique d’une victoire de l’OM, ou encore du célèbre klaxon mécontent de la Canebière à 18h. Une unité d’enseignement est même consacrée aux subtilités du klaxon sur la Corniche Kennedy, où il paraît qu’un double ‘bip-bip’ délicat signifie « passe-moi ta recette d’aïoli ». Les habitants espèrent qu’à terme cette initiative réduira le carnage sonore en enseignant l’élégance et la finesse dans ce domaine.
La pétanque suspendue à cause d’une pénurie… de pastis
Alerte rouge à Marseille. Depuis quelques semaines, la ville est le théâtre d’une crise sans précédent : une pénurie de pastis aurait mis à l’arrêt plusieurs tournois de pétanque, mettant en péril le patrimoine culturel local. Sur le terrain du Parc Borély, les joueurs restent désemparés devant cette situation. « Pas de pastis, pas de carreaux, que voulez-vous que je vous dise » s’exclame René, un pilier du Club des Amateurs de Fanny.
La mairie a promis des mesures drastiques pour remédier à cette crise, dont l’importation exceptionnelle de stocks depuis les Alpes de Haute-Provence. En attendant, le climat est tendu. Certains envisagent même de troquer le pastis contre de l’eau de la Durance, une idée jugée « hérétique » par les anciens du quartier du Panier. Toutefois, il semble qu’un tournoi a récemment pu se tenir grâce à une solution de secours innovante : des joueurs, dans un élan de désespoir, ont remplacé l’alcool anisé par du jus de fenouil. Une expérimentation « pas pire que l’Ouzo », selon René, mais qui reste un sujet de débat houleux… comme toujours, à Marseille.
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