Marseille, capitale mondiale de la tong, frappe encore un grand coup. Après des années de lobbying acharné auprès du Comité International Olympique (CIO), la cité phocéenne vient d’obtenir une victoire historique : le lancer de tongs sera officiellement au programme des Jeux Olympiques de 2028.
Une discipline qui sent le soleil et la rivalité bon enfant
Tout a commencé sur les plages du Prado, où les Marseillais, excédés par les parties de ballon trop bruyantes, ont perfectionné leur art du lancer de tongs en guise de représailles pacifiques. « Au début, c’était juste pour viser les copains qui rataient une passe au beach-volley », raconte Kevin, 28 ans, champion local autoproclamé. « Mais après, c’est devenu sérieux. Y’a des techniques, des trajectoires à calculer, c’est presque de la physique, quoi ! »
Avec des catégories aussi variées que le « tir de précision », le « lancer en cloche » et même le spectaculaire « double ricochet sur galet », la discipline est rapidement devenue un pilier des fêtes locales. Une fédération nationale, la Fédération Française de Lancer de Tongs (FFLT), a même été créée en 2015, avec pour slogan : « Une tong, un rêve. »
Des équipements high-tech pour des performances XXL
Un engouement mondial (ou presque)
La nouvelle discipline attire déjà des curieux du monde entier. Des équipes venues du Brésil, du Japon et même du Groenland s’inscrivent aux compétitions qualificatives. Seule ombre au tableau : les Britanniques, qui insistent pour utiliser leurs sandales Birkenstock, provoquant une crise diplomatique avec le CIO.
« Nous, on reste fidèles à nos racines », conclut Kevin. « Une tong, ça doit être simple, efficace, et surtout, bien claquer sur le bitume. » Marseille promet donc un spectacle inoubliable en 2028, avec une seule devise : « Qui tient la tong, tient le monde. »