Google affirme que les poissons-zèbres surpassent les humains dans la gestion des réunions Zoom et des e-mails non lus
Dans un rapport aussi surprenant que déroutant, Google DeepMind a annoncé ce matin que les poissons-zèbres (Danio rerio) surpasseraient désormais les humains dans la gestion quotidienne des e-mails non lus, des visio-conférences inutiles et des rancunes entretenues via Slack.
Une avancée rendue possible grâce à l’algorithme gilltox®
Selon le Dr Léo Tinn, chercheur principal en neuroproductivité aquatique, l’équipe de Google aurait développé une intelligence artificielle hybride basée sur l’activité neuronale des poissons-zèbres.
« Le poisson-zèbre possède un cerveau minuscule, mais il a un avantage evolutionnaire : il n’éprouve aucune émotion devant un PowerPoint de 87 diapositives », explique le Dr Tinn, devant un aquarium connecté baptisé “Teams for Fins”.
Le projet, baptisé “Gilltox®”, permettrait à ces poissons tropicaux d’identifier les e-mails inutiles en moins de 0,6 seconde, grâce à un système de filtrage instinctif basé sur la silhouette des émojis utilisés dans le sujet.
Un calme inébranlable en réunion
D’après les chercheurs, lorsqu’un poisson-zèbre est placé devant une interface Zoom simulée, il présente une stabilité émotionnelle exceptionnelle — voire absente. Là où un salarié humain commence à transpirer dès que la phrase “on va faire un petit tour de table” est prononcée, le poisson-zèbre, lui, reste stoïque, clignotant une fois toutes les 15 minutes en guise d’approbation silencieuse.
« Le poisson-zèbre ne feint pas l’intérêt, il ne l’a pas », souligne Livia Mortelune, coach en posture passive pour travailleurs hybrides. « C’est d’une sincérité rafraîchissante. »
Un avenir ichtyo-efficace ?
Chez Google, des tests sont en cours pour déployer des « Aquariums décisionnels » dans les open spaces. Les poissons-y-travaillent rempliraient désormais les fonctions de Chief Email Officers dans certaines filiales françaises où personne n’a lu un message depuis 2017.
Une infographie diffusée par le service RH de Google Marseille montre que sur 31 jours de test, le poisson-zèbre “Jean-Kévin n°4” a répondu à plus de 870 e-mails en soufflant une bulle d’approbation, alors que son homologue humain a passé trois semaines à organiser la réunion de préparation… à la réunion de lancement du projet.
Réactions dans le monde de l’entreprise
Si certains syndicats dénoncent l’arrivée d’une main-d’œuvre aquatique difficile à syndiquer, plusieurs dirigeants saluent cette révolution.
« Avec les poissons-zèbres, plus de plaintes sur la machine à café, pas de burn-out, et un taux de présence en réunion supérieur à celui de Claude du service juridique », se félicite Géraldine Panneton, Directrice Générale de SynerCompta.
Prochaines étapes : les coraux pour la communication non-violente
Encouragée par le succès de l’expérience aquatique, Google envisagerait désormais d’intégrer des coraux mous dans les services de relations humaines, ceux-ci étant, selon une étude inventée pour l’occasion, « plus empathiques qu’un manager après un séminaire de cohésion ».
Mais attention : les poissons-zèbres, bien qu’impressionnants, présentent aussi des limites. Non seulement ils ne peuvent pas taper sur un clavier, mais ils n’ouvrent que les e-mails dont l’objet contient les mots “moucherons” ou “flux d’eau tiède”.
Un compromis que beaucoup considèrent déjà comme une nette amélioration du service client actuel.
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