Voici le titre principal proposé :
**Google entraîne ses IA dans des aquariums pour une intelligence « naturellement aquatique » et 28 % plus efficace**
Et voici l’article satirique correspondant, structuré selon tes consignes :
Google dévoile ZAP, une nouvelle IA élevée en milieu aquatique pour des performances décuplées
Dans une démarche audacieuse visant à repousser les limites de l’intelligence artificielle, Google a récemment annoncé le développement de ZAP, un système d’IA open source qui se distingue par une nouveauté de taille : il sera entraîné dans des piscines remplies de poissons-zèbres. Selon les responsables du projet, cette méthode repose sur l’idée que l’encéphalogramme d’un poisson-zèbre est la clé pour rendre les réseaux de neurones « plus rapides, plus fins et surtout, 28 % plus aquatiques ». La recherche, financée par le fonds d’innovation « Techno-Eau 3000 », affirme que cette immersion en milieu naturel pourrait révolutionner la façon dont les IA perçoivent leur environnement… ou du moins, c’est ce qu’ils espèrent.
Une immersion ludique ou une stratégie de branding sous-marin ? Les experts restent sceptiques
Alors que certains applaudissent cette initiative comme étant « l’avenir de l’intelligence artificielle », d’autres restent dubitatifs. Un spécialiste renommé de la robotique, le Dr Jean-Michel Piranha, déclare à ce sujet : « Travailler avec de vrais poissons-zèbres pourrait apporter une touche d’authenticité au processus d’apprentissage, mais j’ai du mal à croire que cela donnera un avantage significatif comparé à une simple simulation en réalité virtuelle. » Selon lui, cette méthode pourrait aussi permettre à Google de se démarquer en lançant la première vraie piscine de test pour IA dans un environnement aquatique, où des robots nageurs et des dauphins connectés seraient eux aussi de la partie. Pour l’instant, les premiers prototypes, baignés d’eau douce, se contentent de faire des bulles, mais Google affirme qu’ils pourront bientôt « nager, plonger, et peut-être même faire des petits fautes de syntaxe aquatiques ».