Philippe Katerine transforme Barbapapa en opéra post-métaphysique autour de peluches chocolatées

Philippe Katerine annonce l’opéra post-métaphysique de “Petit J” : des peluches sous cacao pour sublimer l’enfance

Quand les Barbapapa inspirent un livre (et un opéra en gestation)

Selon l’auteur-compositeur, tout est parti de sa « fascination sans bornes » pour les Barbapapa, ces créatures colorées et extensibles de son enfance. C’est en cherchant à retranscrire cette « fluidité rose bonbon » qu’il aurait composé chaque page de “Petit J”, un livre pour enfants publié récemment. L’œuvre, initialement prévue pour divertir les jeunes lecteurs, s’est progressivement métamorphosée en un projet d’opéra post-métaphysique. Philippe Katerine confie vouloir dépasser les simples frontières de la littérature enfantine : « Les Barbapapa sont d’éternelles métaphores de l’adaptabilité. Alors pourquoi ne pas aller plus loin et faire chanter l’âme même de cette flexibilité ? » Ainsi, son éditeur aurait immédiatement sauté sur l’occasion de voir ce monde onirique prolongé sur scène, convaincu que la douce excentricité de “Petit J” pouvait trouver un écho encore plus inattendu dans la musique.

L’étrange ballet des peluches animées par l’énergie chocolatée

L’idée centrale de cette version lyrique repose sur un chœur composé uniquement de peluches, dont les mouvements scéniques et vocaux seraient dirigés par la pensée positive d’enfants ayant dégusté de généreux morceaux de chocolat. Le tout se déroulerait dans un décor rappelant un univers pastel, où la notion de réalité serait constamment remise en question. « C’est un ovni artistique qui va bouleverser la compréhension même de l’enfance », assure un expert autoproclamé de l’Institut des Opéras Singuliers, témoin privilégié des premières répétitions clandestines. Grâce à la “transcendance gustative”, les ours en peluche, lapins moelleux et autres créatures de coton laisseraient s’exprimer leur fibre vocale la plus profonde. Lorsque les enfants cesseraient de croire à cette magie, les doudous se figeraient aussitôt, comme soudain privés d’énergie. Philippe Katerine espère ainsi faire passer un message : sans la lumière bienveillante de l’émerveillement et de la gourmandise, nul spectacle ne peut exister. Les premières représentations seraient prévues dès la rentrée, promettant une expérience scénique inédite, à la fois hilarante et déroutante.

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