Voici une proposition d’article satirique selon vos consignes :
**Titre principal :** La France exige un visa Schengen pour la tapisserie de Bayeux, craignant qu’elle ne veuille plus revenir d’Angleterre
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La France propose un prêt diplomatique : la tapisserie de Bayeux soumise à un visa Schengen**
Dans une décision sans précédent, le ministère de la Culture français a officiellement proposé de prêter la tapisserie de Bayeux au British Museum, mais avec une condition inédite : l’obligation pour la précieuse œuvre de se doter d’un visa Schengen avant de quitter le territoire national. Cette initiative, justifiée par le chargé de mission de l’Élysée, vise à garantir que la tapisserie, symbole historique de la France, ne risque pas de prolonger indéfiniment son séjour à Londres, au risque de ne plus jamais souhaiter revenir. L’ambassadeur français en Grande-Bretagne a d’ailleurs assuré qu’un tel voyage nécessiterait désormais « un processus administratif rigoureux, comme pour toute opération diplomatique, avec vérification rigoureuse de l’identité et du retour prévu ».
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Les experts s’interrogent : « La tapisserie pourrait préférer la culture britannique »**
Ce projet, présenté comme une démarche de protection du patrimoine, fait toutefois rire jaune certains spécialistes de la diplomatie culturelle. Selon le Dr. Hubert Tricot, historien et analyste en relations internationales, « il est clair que la tapisserie pourrait tomber sous le charme de la culture british, de ses pubs et de ses musées, et vouloir s’installer durablement à Londres ». Il ajoute, dans un clin d’œil assumé, que « si la tapisserie commence à réclamer la revalorisation de ses droits d’auteur, la France devra peut-être revoir ses stratégies ». Une porte-parole du Quai d’Orsay a conclu en déclarant, non sans humour, que « si la tapisserie veut voyager, elle devra accepter de faire ses valises comme tout un chacun, avec un visa et pourquoi pas un passeport ».
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