« Quand la justice marseillaise se mêle au mistral : l’affaire Maggi et Jorda entre rebondissements et aïoli »

# Le mistral souffle sur la justice marseillaise : Maggi et Jorda pris dans une bourrasque

Marseille, la ville aux mille saveurs, a vécu un grand moment de suspense judiciaire digne d’un feuilleton watcheuch combiné à une partie de pétanque tendue au Cours Julien. Jean-Pierre Maggi et Luc Jorda, figures notoires du paysage marseillais, viennent de voir leur condamnation partiellement invalidée par la Cour de cassation. La Canebière bruisse déjà de théories plus rocambolesques les unes que les autres.

## Une affaire aussi complexe qu’un trafic de pastis

Selon des sources dignes de confiance et quelques piliers de comptoir du quartier de Noailles, cette affaire mêlerait des accusations si alambiquées qu’elles feraient passer la recette de la bouillabaisse pour une notice de meuble Ikea. Certains parlent d’irrégularités, d’autres de mauvais karma judicaire. Dans tous les cas, on se perd dans les détails comme dans les ruelles du Panier un soir de fête. Les avocats impliqués auraient même demandé une pause déjeuner de quatre heures pour « mieux réfléchir ». Que voulez-vous, ça carbure à l’aïoli par ici.

## Une justice à la marseillaise ?

D’après le dernier café-philo improvisé au bar des sports de Pointe-Rouge, certains habitants de la cité phocéenne voient dans cette invalidation partielle une preuve que la justice française s’adapte simplement aux réalités locales. « C’est comme le métro ici. Parfois, ça marche pas. Mais faut pas chercher à comprendre, c’est dans l’ambiance » précise un éminent spécialiste, casquette OM vissée sur la tête et accent chantant.

## Un dénouement encore incertain

Alors que la ville attend fébrilement la suite des événements comme elle attendrait l’ouverture d’un nouveau bar à tapas sur le Vieux-Port, une seule certitude semble s’imposer : quel que soit le verdict final, tout le monde ira « s’arroser ça » (ou l’oublier) au Vallon des Auffes autour d’un rosé bien frais. Après tout, ici à Marseille, on ne refait pas le monde. On le refait juste à notre manière, tout en haut de la Bonne-Mère.

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