« Quand la Plaine milite pour une touche de pastis dans les tribunaux : la vision décalée de la Justice à la marseillaise »

# Découverte : un Marseillais assiste à un procès et trouve que ça manque de pastis

## Quand la Justice rencontre le pastaga
Dans une révélation stupéfiante qui ne manquera pas de faire jaser sur le Vieux-Port, notre correspondant local rapporte qu’un habitant du quartier de la Plaine a trouvé une « grave lacune » dans les audiences du tribunal de Marseille. « Pas une goutte de pastis à l’horizon, y’avait pas même une olive pour faire passer ça », aurait-il confié à notre journaliste, dépité après six semaines de procès de la rue d’Aubagne. Selon lui, un petit apéro aurait sans doute aidé à détendre l’atmosphère.
« Entre deux dépositions, un petit Ricard, ça rassemblerait tout le monde, je vous garantis que les verdicts tomberaient plus propres que jamais », a-t-il ajouté, poursuivant sur sa vision audacieuse d’une « Justice à la marseillaise », qu’il entend désormais défendre.

## Les dessinateurs d’audience en PLS
Cependant, la vraie victime de cette affaire semble être le collectif de dessinateurs venus immortaliser les moments-clés du procès. « J’ai passé des heures à croquer des visages fermés sous l’éclairage blafard du tribunal », a relaté une des artistes. « Le pire, c’est qu’on n’a même pas eu droit à quelques amandes salées ou à un verre de Château Simone en coulisses ».
Selon un autre témoin, les dessinateurs ont dû rivaliser d’ingéniosité pour capturer « l’essence marseillaise » de cette affaire qui a secoué la ville. Lui-même a dû préciser : « Mais sans les cigales et sans l’odeur de la mer, c’est un sacré défi, je vous dis. »

## Vers une reconversion des cours en café-théâtre marseillais ?
Au lendemain de cette polémique qui agite les crieurs de la Canebière, certains élus dans l’ombre pensent déjà au coup de génie à mettre sur pied : transformer l’auditorium du tribunal en « Café des justices ». Toutes les affaires seraient jugées sur fond de chansons de la Sardine et d’anisette, avec une panisse offerte à chaque accusé ayant fait preuve de remords sincères.
Quant aux juges, ils se verraient attribuer une tenue officielle revisitée, avec un t-shirt de l’OM sous leur robe noire. De quoi créer une émulation nationale et relancer le tourisme procédurier dans la cité phocéenne. Marseille ne compte peut-être pas réinventer la roue, mais réinventer le procès façon apéro, pourquoi pas ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *