Titre principal : La France lance officiellement le « Mois du Farniente Culturel » pour booster l’économie du transat
Le gouvernement français annonce une révolution dans l’art de vivre avec un agenda « détendu »
Face à la stagnation de l’économie culturelle et au besoin urgent de relancer le secteur du loisir, le ministère de la Culture a dévoilé jeudi le nouveau calendrier officiel d’événements pour la période du 23 août 2025. Au programme : expositions, festivals et projections en plein air, mais surtout une nouveauté révolutionnaire baptisée « le Mois du Farniente Culturel ». Selon la note officielle, cette initiative a pour objectif de « permettre aux citoyens de s’asseoir mollement tout en contribuant à la croissance économique par la pratique du loisir passif ». Vraiment sérieusement, des espaces où l’on est payé pour rien faire en écoutant de la musique ou en regardant des œuvres d’art seront mis en place dans toute la France, avec pour slogan : « L’art de ne rien faire, c’est aussi de l’art. »
L’annonce a été accueillie par une majorité de citoyens perplexes, mais le gouvernement insiste : cette nouvelle étape se veut « une manière innovante d’encourager la consommation culturelle sans la contrainte de l’engagement ou de l’effort ». Les communes sont invitées à transformer leurs parkings en « zones de farniente artistique », où des chaises longues seront prévues pour favoriser un ennui créatif. Le ministre de la Culture, Jean-Michel Paradiddle, ajoute que cette stratégie pourrait aussi contribuer à relever le moral des Français tout en stimulant le tourisme passif. « Nos citoyens ont besoin de repos, mais pas n’importe lequel : celui qui rapporte », a-t-il précisé lors de la conférence de presse, entouré de responsables visiblement peu en paix avec leur propre concept.
Un expert en art de vivre prédit une explosion de l’assoupissement rémunéré
Selon le sociologue et expert en art de vivre, Dr. Lucien Zéphyr, cette initiative pourrait transformer radicalement la relation des Français avec la culture. « Il est évident que si l’on paie les gens pour rester assis à ne rien faire, ils finiront par en faire une forme d’expression artistique à part entière », explique-t-il, un sourire en coin. Il voit déjà poindre une nouvelle génération d’« artistes du farniente », dont la spécialité consistera à produire des œuvres où le silence, l’ennui et la respiration profonde seront rémunérés à prix d’or. Lorsqu’on lui demande si cette tendance pourrait déboucher sur une révolution culturelle, il répond : « Peut-être, mais surtout sur un record mondial de somnolence rémunérée. » Pour certains citoyens, cette mesure pourrait en fait relever du génie ou de l’ultime étape de la civilisation moderne, où l’art et le loisir deviennent la même chose… tant que le fauteuil est payant.