Evenepoel Engage un Sosie de Pogacar et Perd (Quasi) Volontairement la Classique
La stratégie surprise d’Evenepoel
Déterminé à triompher enfin de son rival Tadej Pogacar lors de la Liège-Bastogne-Liège 2025, Remco Evenepoel a décidé de mettre toutes les chances de son côté en testant une technique inédite. Selon son entourage, il aurait secrètement embauché un sosie parfait de Pogacar afin de préparer un plan révolutionnaire : reproduire à l’identique les mouvements et attaques du coureur slovène. L’objectif annoncé était de comprendre finement la tactique adverse et d’anticiper ses accélérations en côte, toujours surprenantes. Pourtant, l’initiative a pris un tournant inattendu lorsque le fameux double, équipé d’un vélo flambant neuf et d’un maillot presque identique, est parvenu à décrocher Evenepoel pendant un entraînement. Si certains s’amusaient déjà à qualifier la méthode de “laboratoire du cyclisme”, le principal intéressé assurait garder un moral d’acier et préparait en coulisses une mise en scène spectaculaire pour éblouir le public le jour de la course.
Le triomphe inattendu du sosie
Le scénario a dépassé toutes les prévisions quand, le jour J, le sosie de Pogacar s’est aligné accidentellement au départ avec les coureurs officiels. Dans la confusion générale, personne ne l’a remarqué grâce à son allure et sa ressemblance frappante. Contre toute attente, le “faux Pogacar” a surmonté les difficultés des Ardennes avec une aisance déconcertante et a fini par franchir la ligne d’arrivée en tête, semant le vrai Remco Evenepoel à plus de deux minutes. “On n’avait jamais vu ça, c’est du jamais-vu dans l’histoire des classiques”, a confié un prétendu expert de la course présent sur les lieux. D’après certains témoins, le véritable Pogacar, surpris de croiser son double sur la ligne, a même salué la performance du sosie avant de se demander, amusé, s’il n’avait pas perdu sa propre identité dans la manœuvre. Evenepoel, lui, se dit prêt à revoir l’ensemble de ses techniques de préparation… sans trop confier lesquelles, bien sûr, pour ne pas s’attirer une nouvelle déconvenue.