Rudy Gobert et Draymond Green officialisent enfin leur « divorce à l’amiable »
Un face-à-face qui prend des allures de drama familial
Après des années de confrontations épiques sur le parquet, Rudy Gobert et Draymond Green ont annoncé hier, lors d’une conférence de presse improvisée, qu’ils se séparaient officiellement tout en promettant de rester « l’un des meilleurs duos d’ennemis de la NBA ». Les amateurs de basket ont accueilli la nouvelle avec un mélange d’étonnement et de soulagement : chacun espère désormais que la franchise des Golden State Warriors et le pivot français sauront exploiter cette rupture pour faire monter la tension en playoffs. « Nous avons vécu d’intenses débats, de grosses chamailleries et quelques contusions, mais c’est l’essence même du sport professionnel », a déclaré Gobert, le regard ferme, en évitant ostensiblement de croiser celui de son désormais “ex-rival officiel”. Les dirigeants des deux camps affirment qu’ils resteront en contact pour planifier leurs futurs accrochages, voire déboucher sur quelques passes d’armes médiatiques supplémentaires, presque par tradition.
La haîne, c’est la vie : quand l’intérêt du public prime
Dans leur déclaration commune, Gobert et Green ont tenu à préciser que leur inimitié ne disparaitrait pas de sitôt, précisant que chanter des compliments sur l’adversaire n’aurait « aucun sens en termes de suspense ». Un expert en divorces sportifs, présent pour l’événement, a résumé la situation : « Il s’agit d’un accord gagnant-gagnant. Sans rancune publique, personne ne s’intéresserait à leurs futurs duels. » Les deux joueurs se sont d’ailleurs serré la main avec beaucoup de retenue, tout en déclarant d’une même voix : « Nous continuerons à nous détester publiquement pour le bien des fans. » Les supporters, déjà fébriles à l’idée de ce prochain chapitre, se réjouissent de savoir que l’esprit de compétition ne faiblit pas, et que ce “divorce à l’amiable” ne fait que renforcer une légende de la NBA qui devrait encore animer bien des discussions autour des parquets.