Le gouvernement impose Mozart et Piazzolla, les jeunes révoltés privilégient la rue

Voici l’article satirique selon tes consignes :

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Le gouvernement impose un passe culture musical exclusivement mozartien, déconcertant les fans de musiques modernes

Une réforme culture-assurée pour l’élite classique

Dans un communiqué officiel mercredi, le ministère de la Culture a annoncé la mise en place d’un nouveau dispositif baptisé « Passe Culture 2.0 », destiné à renforcer l’éducation artistique des jeunes citoyens. Cependant, cette réforme, qui oblige désormais chaque Français à écouter exclusivement des œuvres de Mozart et Astor Piazzolla, suscite rapidement la controverse. Selon le rapport, ce choix a été motivé par une volonté de « fédérer la nation autour d’un héritage musical universel et intemporel », tout en réduisant la dépense publique sur des productions contemporaines jugées « moins nobles ». Présenté comme un « saut dans le patrimoine musical mondial », le dispositif prévoit que chaque citoyen se voit attribuer une application mobile proposant exclusivement ces deux compositeurs, abandonnant tout simplement les autres styles musicaux, y compris la techno, le rap ou l’électro-rock.

Une révolution musicale qui se heurte à la réalité des bass drops

Mais cette initiative soulève rapidement une levée de boucliers, notamment chez les jeunes amateurs de musiques actuelles. La suppression pure et simple de sorties modernes comme celles de Joy Crookes, Wednesday, Nation of Language ou Ala.Ni a provoqué une véritable émeute numérique, notamment sur les réseaux sociaux. Des internautes se plaignent déjà de « perdre leur énergie à cause de Mozart et Piazzolla », et déploient des hashtags telles que #RetourAuxBassesDrop ou #LibertéMusicale. Adrien Laurent, professeur en musicologie et témoin de la scène musicale, affirme : « On marche sur la tête. La musique, c’est aussi une question d’émotion et de rythme. Là, on va faire écouter à des millions de personnes du Mozart en boucle, comme un traitement de choc pour leur cerveau de nostalgie électronique ». Pour certains observateurs, cette reforme témoigne surtout d’un désir gouvernemental de rester politiquement correct, au prix d’une véritable révolte silencieuse des jeunes qui, peu à peu, commencent à préférer écouter les sons de leur environnement urbain plutôt que de se laisser enfermer dans un concert de quatorzième symphonie.

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