Claude Guéant et Alexandre Djouhri : Valises de Cash, Amitié Luxueuse et Scandale Diplomatique, le Procès qui Ébranle la France

Claude Guéant et Alexandre Djouhri : Une Amitié qui Vaut Son Pesant d’Or (et de Caviar)

Dans la catégorie des amitiés improbables dignes d’un feuilleton télé, celle qui lie Claude Guéant, l’ancien ministre de l’Intérieur français, et Alexandre Djouhri, l’homme d’affaires franco-algérien surnommé « Le facilitateur du désert », se hisse sans aucun doute parmi les mésaventures politiques les plus burlesques du moment. Cette semaine, le procès Sarkozy-Kadhafi poursuit son incroyable saga, révélant qu’entre ces deux figures, la petite sympathie de courtoisie s’est transformée en une véritable fortune. Djouhri, présenté comme l’homme de tous les réseaux politiques internationaux, aurait arrangé suffisamment de dîners fins et de voyages luxueux pour que Guéant pourrait désormais ouvrir un guide Michelin privé de la diplomatie gastronomique. Témoins médusés, preuves déroutantes et punchlines judiciaires savoureuses se succèdent au tribunal, où l’on apprend que l’amitié franco-libyenne se comptait à la fois en lingots d’or, en valises et en sourires gênés.

Procès et petites valises diplomatiques : le véritable art français des convenances internationales

En observant la relation Guéant-Djouhri, force est de constater que la diplomatie française est entrée dans une phase particulièrement raffinée : après le soft power, voici venu le temps du cash power. Djouhri explique candidement avoir pensé – sans arrière-pensée, évidemment – que les petites valises bourrées de billets étaient simplement un nouveau standard diplomatique équivalent à un bouquet de roses ou une boîte de chocolats. Face aux juges médusés, les deux protagonistes esquivent et tergiversent avec une élégance digne d’un spectacle de patinage artistique, entraînant toute la cour dans un ballet diplomatique où les preuves glissent aussi vite que les plats de champagne circulaient autrefois, avec légèreté, efficacité, et juste ce qu’il faut d’éclaboussures. Pour le reste, chacun prie pour que Nicolas Sarkozy ne se souvienne pas soudainement de détails qui pourraient, une fois de plus, chambouler l’allégresse de ce petit théâtre judiciaire à la française.

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