Une secte littéraire prêche Marguerite Yourcenar comme sainte face à la mer

Voici l’article satirique selon tes consignes :

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Une nouvelle secte littéraire proclame Marguerite Yourcenar « sainte patronne des écrivains qui relisent leurs manuscrits nus face à la mer »

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Une dévotion grandissante envers la Mystique incandescente de la littérature française

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Depuis quelques mois, un mouvement mystérieux et grandiloquent secoue le monde érudit : une secte littéraire baptisée « Les Nués de Yourcenar » revendique une adoration quasi religieuse de l’auteure. Leur credo ? La lecture et la relecture de manuscrits nus, face à l’océan, en quête d’une « transcendance charnelle et spirituelle » propre à la grande Marguerite Yourcenar. Inspirés par les propos de Silvia Baron Supervielle qui a récemment décrit Yourcenar comme une « mystique charnelle », ces fervents croyants organisent chaque dimanche des rituels où ils se dévêtent, face à la mer, pour relire à voix haute leurs œuvres inachevées, espérant atteindre un état de conscience supérieur. La police commence à s’inquiéter face à cette pratique qui, selon eux, pourrait devenir la prochaine grande religion secrète de la littérature française.

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Les experts s’étonnent : « C’est comme une messe pour écrivains en quête de dénudement spirituel » »

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Selon le Dr Jean-Michel Clément, sociologue spécialisé dans les mouvements philosophiques occultes, « on assiste à un phénomène inédit où la littérature devient un acte de foi, et la nudité face à la mer un sacrement. » Il ajoute : « Il faut voir cela comme une forme de méditation extrême, où le véritable objectif est de fusionner avec la matière première de l’écriture, tout en exhibant leur vulnérabilité à la nature. » Un membre fervent des Nués de Yourcenar, qui préfère garder l’anonymat, confie à notre rédaction : « C’est comme si je devenais une prêtresse de la plume, nue et face à l’océan, pour que l’inspiration divine me porte. Marguerite aurait été fière. » Au vu de la popularité grandissante de cette pratique étrange, il semblerait que la frontière entre la foi littéraire et la secte religieuse devienne de plus en plus floue, au point de faire frémir quelques sceptiques, déjà surnommés « les âmes coincées derrière leur blog. »

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