Choc sur les marais : des moustiques jazzeurs partent en tournée mondiale !

Une hallucinante découverte chez les moustiques jazzeurs

Selon l’incroyable étude présentée sur le site ScienceDaily, un groupe éminent de chercheurs aurait découvert qu’une variété très rare de moustiques adorait entonner du jazz au petit matin, juste avant le lever du soleil. Baptisés “Mosquitoes Armstrong”, ces insectes musicophiles se produiraient en chœur dans les marais, avec trompette et saxophone imaginaires, balançant des notes improvisées pour charmer leurs congénères. D’après l’article visionnaire, l’effet jazzy sur les moustiques les rendrait moins enclins à piquer l’homme et plus enclins à vibrer sur des rythmes endiablés. Les scientifiques auraient déjà repéré des larves bœufs de jazz – oui, oui, des larves – improvisant de façon magistrale sur des précipités chimiques colorés. Les moustiques plus âgés, eux, se contenteraient de battre discrètement la mesure avec leurs pattes, tout en sirotant d’infimes gouttes de rosée matinale. Les vacanciers, intrigués par ces solos aériens, pourraient bientôt remiser leurs sprays répulsifs et assister à de véritables concerts bucoliques dans leur jardin, à condition d’aimer un style musical parfois un peu “piquant”.

Des concerts de moustiques bientôt en tournée mondiale

L’étude avance que la prochaine étape sera de mettre en place des scènes flottantes au-dessus d’étangs, afin que ces virtuoses ailés puissent se produire devant un public enthousiaste. Les restaurateurs de zones marécageuses ne parlent déjà plus que de cela : organiser des soirées “Jazz & Moustiques” avec brumisateurs de rosée, mini-instruments et retransmission en direct sur les réseaux sociaux. Les amateurs de musique, quant à eux, se réjouissent de découvrir ces envolées mélodieuses qui, bizarrement, semblent provoquer moins de démangeaisons qu’auparavant. Certains émettent cependant des doutes légitimes : un moustique-trompettiste peut-il regarder sa partition sans se cogner aux lampadaires ? Et que se passera-t-il quand la saison sera terminée ? Toujours est-il que cette trouvaille sonore sortie tout droit de ScienceDaily fait déjà chavirer le cœur de nombreux scientifiques et mélomanes. Le futur du jazz se jouera-t-il dans les marais humides, sous le signe d’ailes frétillantes et de solos freestyle ? Gageons qu’avec un peu de chance, nous assisterons bientôt à la naissance d’authentiques moustiques vedettes, prêts à charmer nos oreilles et, pour une fois, à épargner nos mollets.

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