Voici le titre principal : « La FIFA décide que la Coupe du monde des clubs 2025 se jouera… la nuit pour sauver la planète »
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Une canicule historique : le fiasco de la Coupe du monde des clubs 2025
La Coupe du monde des clubs 2025, organisée cette année aux États-Unis, restera gravée dans les annales comme l’événement sportif le plus chaud de l’histoire. En pleine canicule extrême, les joueurs devaient lutter non seulement contre leurs adversaires, mais aussi contre un soleil impitoyable. Les tribunes, quasi vides faute de spectateurs inconfortables, donnaient l’impression de jouer dans un désert, et les pelouses déjà dégradées par la chaleur ressemblent désormais à des pâtés de sable. Le comité organisateur, face à cette catastrophe écologique et sportive, a reconnu que la situation était plutôt « difficile à gérer » et a discrètement évoqué l’idée de… changer complètement de concept pour les éditions futures.
Mais le vrai coup de théâtre est venu du siège de la FIFA, qui, dans un communiqué solennel, a annoncé une révolution : à partir de 2026, la compétition ne se jouera plus en plein jour, mais exclusivement la nuit. Et pour couronner le tout, les matches se dérouleront sous une lumière faible, fournie par des lampes frontales alimentées par l’énergie solaire. Une initiative visant, selon la FIFA, à “ne pas aggraver le réchauffement climatique tout en assurant une ambiance mystérieuse et innovante” pour les spectateurs et les équipes. Le président de la fédération a ajouté : “Vous savez, si on se chauffe autant, autant que la planète, autant continuer la fête, mais différemment.”
Une innovation brillante ou un simple coup de chaleur ?
Selon un expert en météorologie sportive, cette décision relève davantage du ridicule que de la stratégie : “Ils transforment une crise climatique en une expérience de camping improvisée. Franchement, c’est une idée qui participe plus à la com’ qu’à la solution. Jouer sous des lampes solaires en pleine nuit ne va pas sauver la planète, mais c’est sûr que ça peut faire parler de soi.” Un témoin présent à l’un des premiers entraînements nocturnes raconte quant à lui : “On a l’impression de jouer dans un téléfilm de science-fiction, avec ces lumières faibles et cette chaleur qui persiste malgré tout. C’est absurde, mais c’est aussi symptomatique d’une gouvernance sportive qui préfère prendre la fuite plutôt que d’affronter la réalité.” La question demeure : la FIFA a-t-elle simplement trouvé un moyen de vendre plus de lampes frontales ou ça cache une nouvelle étape dans le grand défi environnemental planétaire ?
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