Un duo improbable : Paul Vannier et Violette Spillebout unis contre la violence scolaire
Une mission conjointe pour enrayer la spirale des conflits
Au grand étonnement de toute la classe politique, Paul Vannier (LFI) et Violette Spillebout (Renaissance) ont été mandatés par Gabriel Attal et François Bayrou pour trouver des solutions face aux violences scolaires qui persistent dans les établissements. Alors que beaucoup doutaient de la compatibilité de ces deux personnalités diamétralement opposées, le gouvernement se targue d’avoir trouvé l’équipe idéale pour mettre fin, une bonne fois pour toutes, aux bagarres de cour de récré. L’idée ? S’appuyer sur la capacité légendaire des élus à débattre et parfois s’invectiver pour démontrer aux élèves qu’il vaut mieux troquer les coups de poing contre la confrontation d’idées. Les premiers retours sur le terrain suggèrent déjà une nette augmentation du nombre de cahiers de doléances chez les collégiens, qui adoptent peu à peu la posture « argument contre argument ».
Des disputes productives pour inspirer les élèves
Selon des témoins, les réunions de travail de ce duo inédit donneraient lieu à de vives discussions, parfois dignes d’un match de boxe rhétorique, mais toujours suivies d’excuses et de politesses formelles. « C’est exactement ce dont nos enfants ont besoin pour comprendre la puissance du verbe, explique la psychologue scolaire Tatiana Bablesse. Voir deux figures politiques se chamailler pour mieux se réconcilier, c’est un modèle positif : ils voient qu’on peut exprimer son désaccord sans se taper dessus. » Les équipes pédagogiques se réjouissent d’observer, en coulisses, une chute des insultes dans les couloirs et un nouveau fléau qui prend pourtant racine : les joutes oratoires improvisées entre élèves imitant leurs héros parlementaires. Reste à savoir si l’art du débat suffira à désamorcer toutes les querelles, ou si un jour il faudra envisager d’autres solutions moins… théâtrales.
